
« Art »
TRIOMPHE / PROLONGATIONS
Dernière irrévocable le 7 mars 2026


Joué du mercredi 04 septembre 2024 au dimanche 27 octobre 2024
Mardi, mercredi , jeudi, vendredi & samedi à 19h
Dimanche à 15h
1h20
38 € / 22 €
10 € pour les moins de 26 ans (réservations au guichet ou par téléphone)
Simon se régale à chaque fois qu’il va chez sa grand-mère, elle fait de si bons petits plats !
Elle est pleine de fantaisie et son petit-fils qui l’adore vient la voir souvent.
Mais il doit aussi courir aux quatre coins de Paris, entre son travail, ses enfants et sa femme Clara qui est souvent absente.
Mauvaises surprises, quotidien chamboulé… Quand tout devient difficile, à quoi se raccrocher ? À l’amour bien sûr !
Avec Isabelle de BOTTON, Antoine de FOUCAULD, Katia MIRAN et Gilles DYREK
Écriture et mise en scène Attica GUEDJ
Décor Catherine BLUWAL
Aquarelles Anne-Isabelle SIGROS
Costumes Aurélie THOMAS
Lumières Olivier OUDIOU
Son Hervé HAINE
Assistante à la mise en scène Camille DELPECH
TRIOMPHE / PROLONGATIONS
Dernière irrévocable le 7 mars 2026

Dernière le samedi 07 mars 2026

Première le 13 mars
15 exceptionnelles !

Première le 19 mars
14 exceptionnelles

TRIOMPHE – PROLONGATIONS SAISON 25/26

Dernière le dimanche 04 janvier 2026

Dernière le mercredi 31 décembre 2025

3 conférences exceptionnelles

Première le samedi 10 janvier 2026

Première le mercredi 28 janvier 2026

Aïe est une comédie sentimentale. Moi-même, je suis une sentimentale indécrottable, et je l’assume. Alors, dans cette pièce, il y a beaucoup d’amour qui circule. L’amour d’un petit-fils pour sa grand-mère, qui le lui rend bien. L’amour d’un homme pour sa femme, qui ne l’aime pas moins. L’amour de ce couple pour ses enfants. L’amour de la cuisine d’Afrique du nord. Mes personnages ne sont pas béats pour autant. Ils traversent des difficultés, des épreuves, comme tout le monde. Ils les affrontent, au jour le jour. Ils mentent quand c’est nécessaire. Ils crient quand ils n’en peuvent plus. Mais ce qui les fait tenir et les lie, c’est cette force de vie, cette croyance dans la joie, cet attachement à leurs proches. Pour refléter ce climat chaleureux, j’imagine une mise en scène fluide dans une suite de tableaux dont seule la lumière les fait changer de temps ou d’espace. Jamais de noir, ici, tout se fait à vue, les séquences glissent les unes après les autres. Le théâtre, ce n’est pas la vie, alors on est libre de la représenter comme on veut, sur scène. On peut même y danser.
Attica GUEDJ