Cyrano de Bergerac
Joué depuis le mardi 17 septembre 2024
Joué depuis le mercredi 04 septembre 2024
Mardi, mercredi , jeudi, vendredi & samedi à 19h
Dimanche à 15h
1h20
38 € / 22 €
10 € pour les moins de 26 ans (réservations au guichet ou par téléphone)
Les billets ne sont ni repris ni échangés et les représentations commencent à l’heure. Aucun retardataire ne peut être accepté dans la salle, pour ne pas perturber le bon déroulement du spectacle.
Simon se régale à chaque fois qu’il va chez sa grand-mère, elle fait de si bons petits plats !
Elle est pleine de fantaisie et son petit-fils qui l’adore vient la voir souvent.
Mais il doit aussi courir aux quatre coins de Paris, entre son travail, ses enfants et sa femme Clara qui est souvent absente.
Mauvaises surprises, quotidien chamboulé… Quand tout devient difficile, à quoi se raccrocher ? À l’amour bien sûr !
Avec Isabelle de BOTTON, Antoine de FOUCAULD, Katia MIRAN et Gilles DYREK
Écriture et mise en scène Attica GUEDJ
Décor Catherine BLUWAL
Aquarelles Anne-Isabelle SIGROS
Costumes Aurélie THOMAS
Lumières Olivier OUDIOU
Son Hervé HAINE
Assistante à la mise en scène Camille DELPECH
Joué depuis le mardi 17 septembre 2024
Joué depuis le vendredi 20 septembre 2024
Première le mardi 22 octobre 2024
Première le jeudi 23 janvier 2025
Joué depuis le samedi 14 septembre 2024
Joué depuis le mercredi 18 septembre 2024
Aïe est une comédie sentimentale. Moi-même, je suis une sentimentale indécrottable, et je l’assume. Alors, dans cette pièce, il y a beaucoup d’amour qui circule. L’amour d’un petit-fils pour sa grand-mère, qui le lui rend bien. L’amour d’un homme pour sa femme, qui ne l’aime pas moins. L’amour de ce couple pour ses enfants. L’amour de la cuisine d’Afrique du nord. Mes personnages ne sont pas béats pour autant. Ils traversent des difficultés, des épreuves, comme tout le monde. Ils les affrontent, au jour le jour. Ils mentent quand c’est nécessaire. Ils crient quand ils n’en peuvent plus. Mais ce qui les fait tenir et les lie, c’est cette force de vie, cette croyance dans la joie, cet attachement à leurs proches. Pour refléter ce climat chaleureux, j’imagine une mise en scène fluide dans une suite de tableaux dont seule la lumière les fait changer de temps ou d’espace. Jamais de noir, ici, tout se fait à vue, les séquences glissent les unes après les autres. Le théâtre, ce n’est pas la vie, alors on est libre de la représenter comme on veut, sur scène. On peut même y danser.
Attica GUEDJ